Les échanges des ateliers en 2018 font état de:

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L’augmentation des difficultés, inhérentes à la complexité de l’accompagnement pour une meilleur fluidité des parcours, engendre des résistances. Les situations sont de plus en plus complexes pour les professionnels comme pour les personnes accompagnées, ce qui restent difficiles à appréhender sereinement :

• Des problèmes structurels avec la question financière, des commandes sociales floues, charges administratives, des lenteurs administratives

• Une confusion entre communication et l’information

• Une mauvaise préparation au changement

• Une mauvaise visibilité à long termes sur la pérennisation des dispositifs en place

• Des conflits interprofessionnels et intergénérationnelle 

• Une méconnaissance des compétences dans le réseau

• Des notions d’inclusion, d’accompagnement des familles et de coordination de parcours pas bien définis

 

De pistes de travail et de réflexion, opérationnels mêlant méthodologie de travail ou pensée et d’état d’esprit permettent la mise en place du travail en partenariat :

• La rechercher d’actions pérennes, souples, adaptables

• Le partage d’outil et de savoir et formation des acteurs

• La mise en œuvre de soutien, forces collectives, de coopération

 

Le travail en partenariat est ainsi un concept émergeant qui peut être défini comme un « bien commun ». Sa réussite doit être partagée, elle n’est ni la propriété d’un secteur ou d’un autre. Ses ressources sont d’ailleurs matérielles et immatérielles et les règles de gouvernance se doivent d’être définies pour le rendre vivant.